mardi 23 août 2016
dimanche 24 juillet 2016
dimanche 26 juin 2016
jeudi 2 juin 2016
mercredi 11 mai 2016
mardi 12 avril 2016
De toi
De toi je
garde
Ferveur
oubliée
Obsolescence
Monde où les mots
Coulent et s’évacuent aussi vite
Que le
temps de dire
Je t’aime
Ou adieu
De toi
lueur de l’orée
Scintillement
de clarté
A aucune
identique
Pans de
lumière
Caresses
sur les ombres
Soudain
aussi claires
Qu’un jour
d’été sans pluie
De toi je
garde les mots dits
Puis
balayés
Spontanéité
du langage
Authenticité
de l’émoi
Rencontre
improbable
Passage de
comète
Dans le
ciel dégagé
Nos vies déglinguées
Ai perdu
ton visage
Et ai
perdu ta voix
Le souffle
de tes mots
La tiédeur
des caresses
De toi je
garde
Tendresse
infinie
Dans un
sommeil profond
Volcan
endormi
mardi 5 avril 2016
lundi 29 février 2016
lundi 15 février 2016
Un regard triste...
Au milieu
de la foule des petits commerçants, l’homme semblait attendre, son regard
fatigué exprimait une infinie tristesse..
Il ne
faisait pas partie pour l’instant de ces petits métiers qui arpentent la ville
dans l’espoir de survivre avec le peu de choses qu’ils ont à proposer, qui,
quelques gâteaux faits main, qui, quelque écharpe colorée, qui quelques plantes
vite défraichies d’un jardin à l’autre bout de la ville, qui un jus de fruit rafraichissant habilement découpé...
Ces
hommes et femmes courageux essaient sans relâche de s’en sortir, ils voient l’arrivée
des touristes avec intérêt, ils savent que les touristes ramènent leur richesse
et que l’un ou l’autre finira par être sensible à leurs arguments de vente.
Libellés :
petits métiers,
touriste,
tristesse
dimanche 7 février 2016
mardi 26 janvier 2016
mardi 19 janvier 2016
Fenêtre sur océan
Une découpe
dans un monde en mouvement
une larme
bleue qui simule l’apaisement
souffle le
vent qui apaise les tempêtes
et le
roulis qui démange les saisons
Belle
tendresse que celle issue des flots
Caresse
immuable et long frémissement
J’ai ouvert
le hublot de l’indifférence
Derrière le
plastique ébréché
sont
apparus les cieux
confondus
avec le bleu des mers
et le chant
des oiseaux
qui se
noient à jamais
dans un
monde qui s’ouvre enfin.
vendredi 8 janvier 2016
samedi 2 janvier 2016
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